L’église et ses sarcophages
Mais d’où provient cette centaine de sarcophages mérovingiens alignés tout autour de l’église Saint-Georges ( il y en avait plus de deux mille jadis ) ? Plusieurs hypothèses sont avancées : les Quarréens (habitants de Quarré) étaient des fabricants de sarcophages ? Ou alors, la présence d’une importante nécropole à proximité ?…
Le mystère reste entier…
Peut-être réussirez-vous à résoudre cette énigme ! Le mieux serait que vous veniez voir par vous-même…
La place principale est le lieu de vie du village et tous les commerces s’organisent autour d’elle. C’est ici que se tiennent le marché, le vide-greniers, la fête foraine… et tous les dimanches après-midi, on vient déguster (parfois de très loin) les excellentes gaufres “maison” du chocolatier de la place. Et bien sûr, la star de ces gaufres est… la gaufre au chocolat…
Sa forêt, ses étangs et ses points de vue…
Dans la forêt au Duc, magnifique forêt de feuillus, se trouve un lieu de légende constitué de blocs granitiques, nommé la “Roche des Fées” : saurez-vous trouver le lit dans lequel la fée venait se reposer ?
Allez vous rafraîchir à l’étang du Griottier Blanc ou au bord de la Cure, au lieu-dit “Les Iles Ménéfriers”, ou rendez-vous au parc aux Daims non loin de la maison forestière. Et, pour découvrir un panorama d’exception sur le Morvan, il vous faudra monter à 556 mètres d’altitude, au rocher de la Pérouse, qui est le point culminant de l’Yonne !
Quarré-les-Tombes, porte d’entrée nord du Morvan, est à la croisée de nombreux chemins de randonnées : ici le GR 13 côtoie le GR de pays et vous pourrez y faire des petites randonnées, multiples et variées… C’est un lieu de choix idéal, très prisé des randonneurs d’un jour ou de plusieurs…
Non loin de là : le Musée Vauban et l’Abbaye de la Pierre-qui-Vire
À quelques kilomètres de Quarré-les-Tombes, à Saint-Léger-Vauban, le Musée Vauban est entièrement dédié à la vie et à l’oeuvre du célèbre ingénieur militaire, penseur et réformateur, le Maréchal de Vauban, natif de ce village.
Plus loin, au coeur de la forêt et au creux de la vallée du Trinquelin, se niche l’abbaye bénédictine de la “Pierre-qui-Vire” qui doit son nom étrange à un dolmen dont la partie supérieure “virait” sur simple pression de la main. Cette pierre est aujourd’hui scellée !